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Un Osti de beau chapeau (Partie 1)(avec Pile ou Face)

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Message  Rayer Mar 27 Mai - 2:25

(La caméra ouvre sur Rayer qui marche dans une très ample boutique. Des deux côtés, on remarque de très longs couloirs contenant des housses transparentes, donc la disposition empêche partiellement de voir de qu’il y a à l’intérieur. On remarque cependant des étiquettes qui dépassent des deux côtés, et les noms que l’on y trouve, par exemple « Marin », « Juge », permettent de supposer qu’il s’agit d’un magasin de costumes. Mais Rayer ne se trouve pas dans ces rayons. Il est en effet dans une section contiguë nommée, selon le panneau de bois situé en haut du cadre permettant l’entrée à ce secteur, « Haute couture », ce qui est assez particulier puisque, comme nous le savons, le costume sera utilisé dans un combat. Il est pourtant de la nature de Rayer de faire des choses aussi étranges. Ses souliers blancs parfaitement cirés et brillants frôlent un plancher de bois franc pas très net, soulevant parfois quelques petites portions de poussières qui s’y accumulaient. Il portait un pantalon beige, avec un pli très net pratiqué sur la face du vêtement. Une immense ceinture à boucle d’aigle permet de conserver le tout en place, et une bosse dans la poche de droite révèle un portefeuille, sinon un cellulaire ou quelqu’autre gadget du genre. Il tient dans sa main droite les clés de son automobile, qu’il fait tourner frénétiquement à son index. Ses mains sont gantées – on ne sait jamais ce qui a pu toucher à ces housses avant qu’on y pose la main – et il a une chemise vert pomme très serrée au niveau des épaules. Il tire de l’une des étagères un ensemble d’un vêtement aux allures de matelot. Après un réajustement de la caméra, on remarque un pantalon court bleu marine, ainsi qu’un chandail assez court de couleur bleu pâle. Il y a deux petites bandes blanches au niveau des manches, et un petit chapeau d’écolier à la mode française, avec deux rubans blancs qui pendent derrière. Le costume venait aussi avec une sucette d’une taille impressionnante et une perruque composée de véritables cheveux, des boucles de couleur dorée, des cheveux d’homme de toute évidence, puisque la notice accrochée au costume indique « Candide ». Riant intérieurement, Rayer le repose mais note la position du regard. Sa main continue de suivre les rayons et il en tire après un certain temps, l’air radieux, un costume étiqueté « Tannhäuser ». Considérant probablement qu’il ne peut se tromper avec un personnage tiré d’un opéra de Wagner, il le tire de sa housse avec rapidité. Un masque tombe sur le sol. Celui-ci semble tiré de la Commedia dell’arte, puisque le nez est allongé et qu’il accentue fortement les traits du visage. Cela vient avec un imposant chapeau à plumes, et celles-ci retombent légèrement sur le visage. Comme Tannhäuser est un personnage galant, il a de longs cheveux, remontés sur la tête, et sous son menton allongé se trouve une boucle, une veste ouverte et une chemise décontractée. Le pantalon colle à la peau et est de couleur noire, Il s’étend jusqu’aux genoux, où prennent la relève de longs bas blancs, le tout se comportant avec des souliers noirs. Un personnage de chanteur poète lui plaisant probablement, il remet le tout dans la housse où, après un très bref essai, il raccroche aussi le masque. Il allonge le tout à son bras afin de poursuivre sa recherche. C’est alors qu’il remarque un autre homme, à l’autre bout de la même section, qui semble particulièrement inquiet. Il regarde deux différents morceaux mais semble entièrement incapable de se décider et se parle de manière quelque peu agaçante pour les autres, et frénétique. Il tient d’un côté un costume du fantôme de l’opéra, personnage éponyme bien connu dont nous ne ferons ici l’apologie sinon pour indiquer qu’il vient d’un roman de Gaston Leroux, qui ne l’est point. De l’autre côté nous avons un autre personnage français, soit Arlequin. Le gilet à carreaux bleus et rouille, séparés par des lignes dorées, et le pantalon couleur rouille, avec une ceinture de tissu noir, le masque de théâtre italien et le chapeau à plume, ressemblant assez à celui du « Capitano », et une palette de bois accompagnant le masque. L’homme lui-même est vêtu d’un jeans foncé et d’un chandail assez pâle et d’une ceinture noire. Il a aussi, sur sa tête, un chapeau beige incliné, à la manière d’un détective, ou d’un explorateur, les deux s’appliquant au contexte de fouille de la boutique. C’est ce que l’on nommerait, avec un québécisme apparent, « un osti de beau chapeau ».)

Rayer : Je vous conseille le fantôme de l’opéra. Ce costume est empreint d’une moins grande histoire, mais le personnage est beaucoup plus noble. C’est un artiste. Il impose le respect. J’espère que cette information vous sera utile et, surtout, qu’elle vous mènera à vous taire.

(L’individu en question se retourne et l’on constate que sous le joli chapeau se cache Pile ou face. Les deux hommes semblent aussi étonnés l’un que l’autre.)

Rayer : Toi, ici?

Pile ou face : Je pourrais te demander la même chose.

Rayer : Finalement, le valet t’irait assez bien, puisque tu sembles être en quelque sorte celui de Simmons. Bon, alors je suppose que l'on s'attendrait à ce que l'on se batte, mais je ne suis pas pour de telles grossièretés. Je ne suis pas un croquant. Et, contrairement à certains, lorsque je dis que je ne ferai pas suite, je ne fais pas suite.

Pile ou face : Ahh, quel insolent ce Simmons, qu'il pourrisse en prison pour son méfait, haha. Sans blague, je suis bien d'accord... De toute façon j'ai bien des choses à régler avant ce combat.

Rayer : Non pas que tu sois beaucoup moins hypocrite et fourbe, je dois reconnaître que Simmons ne sait aucunement dans quelle pente glissante il s’enfonçait. Comme à son habitude, à n’a pas pensé que les autres ont un esprit, dans mon cas un esprit bien supérieur au sien. Et je m’en suis servi à propos. Il devrait, dans les prochains jours, recevoir une lettre de la cours le sommant à comparaître et à courir pour un avocat. Mais c’est dommage pour toi. Je t’aurais certainement envoyé en finale pour le titre, sinon j’aurais aisément pu t’aider à récupérer ta pièce. Meilleure chance la prochaine fois, je suppose.

Pile ou face : Les avocats ne viendront pas à bout de Simmons, tu le sais aussi bien que moi, sers-toi de la loi autant que tu le veux, tu ne feras qu'attiser sa haine envers toi. Pour le titre, ça m'est bien égal, je n'avais pas l'intention pour une seconde de me frotter à Whitaker...quel gâcheur de « main-event » celui-là! Et pour la... (Pile ou Face serre le poing et grince des dents en repensant à sa pièce perdue quelques parts dans l'intestin du bouffon obèse.) Je m'arrangerai moi-même pour lui extirper ma pièce...quite à lui ouvrir les entrailles... En espérant toutefois que Moonchild ne viendra pas repousser la sortie de la pièce... (La poitrine était élevée de quelques soubresauts sérieux alors que les dernières paroles, liées à l’anxiété de la perte de ladite pièce, avaient traversé l’air. Les yeux de Pile ou face semble quelque peu perdus dans ses pensées.)

Rayer : Je ne crois pas qu’il soit particulièrement complexe de venir à bout de Simmons. Je crois qu’avec le temps, il apprendra que la loi n’est jamais tant une finalité qu’un prétexte pour les circonstances extérieures. Sans être véritablement navré pour ta pièce – vaut mieux être franc – j’aurais bien aimé que tu la conserves, puisque pour quelque raison elle revêt pour toi une grande importance. Mais ne perds pas patience, puisque tu sais qu’elle te reviendrai probablement, d’une manière ou d’une autre. Les lois de la nature sont impénétrables, sauf par Moonchild, probablement, mais nous viendrons à bout de cet autre problème. Car, vois-tu, sans me considérer au-dessus des lois, elles peuvent souvent servir l’homme à bon escient, il faut simplement la finesse nécessaire pour parvenir à cet état de désillusion. Et les clowns ne sont plus dans ton chemin pour l’instant. Cependant, si Simmons ne m’avait pas attaqué, j’aurais peut-être pu organiser quelque chose en ce sens. C’est encore une fois bien dommage qu’il tait causé un tel tort… Dire que tu dois lutter avec lui au prochain combat! (Rayer le regarde avec un sourire compromettant.)

Pile ou face : Dois-je te rappeler que tu fais équipe avec une illuminée qui se prétend princesse et veut dominer le "royaume" de la LCC? Tu n'es qu'un crochet auquel elle peut se permettre de s'accrocher pour mieux rêvasser à ses idées féeriques. Le destin nous mène toujours ou l'on veut Rayer et une fois de plus sur le Champ de Bataille, il décidera de notre sort à tous les quatre, bien que notre talent nous sauvera peut-être également un peu... Je ne peux pas en dire autant de Whitaker.

Rayer (entendu) : Cet événement ne décidera que de votre volonté à vous trois. Je te rappelle que j’ai pour réputation d’avoir toujours plus d’un tour dans mon sac et je compte bien tous les utiliser. J’ai les bottes d’or – je déteste cette méthode de fonctionnement, puisqu’elle est inadaptée à ma manière de penser, la facilité n’étant pas la bonne voie – et je crois faire mes souhaits assez bientôt, de manière à m’en débarrasser. Ce ne sera donc probablement que votre destin qui sera en jeu à ce moment, et puisque je ne me crois pas en danger dans ce combat de toute manière… La princesse, même si elle est prise de mon côté, en quelque sorte, a quelques portes qui s’ouvriront devant elle, car un service que l’on me rend est une faveur à soi-même, et je n’oublie pas ceux qui me sont loyaux, à la même manière dont je n’oublie pas les hypocrites et les barbares (il toussote). Qu’elle rêvasse, de toute manière lorsque je lutterai, elle aura du temps pour dormir. De toute manière, on ne sait jamais qui se cache réellement derrière ce masque (De fait, il soulève un masque de Colombine d’une des étagères et le bouge tranquillement devant lui.)

Pile ou face : Si tu t'en tiens à celui-là je saurai qui tu es et vraiment, est-ce si difficile de nous discerner tous les quatre sur ce ring? Alors tu comptes te débarrasser des bottes d'or... C'est pourtant un bon privilège, je ne comprends pas vraiment ta manière de penser. Inutile de les utiliser pour te faciliter les choses, utilise les simplement pour compliquer la vie de ceux qui te malmène, moi le premier. (Pile ou Face se saisit du masque du fantôme de l'opéra et le porte à son visage, affichant désormais plus qu'un demi-sourire.)

Rayer : Je voudrais te rappeler que comme tu risques de louer, ou d’acheter, ce costume, je pourrai te reconnaître sur le ring, ou plutôt sur scène, puisque cela est pratiquement une mascarade. Et seulement pas la forme des individus, je crois pouvoir vous différencier, à moins que l’un de vous deux soit suffisamment stupide pour se battre sur des échasses. Quant aux bottes d’or, sans chercher à me justifier envers toi, puisque cela n’a pas lieu d’être, je dirais simplement que la facilité n’est pas la manière correcte de procéder. Si on opte pour la facilité, c’est que l’on est paresseux. Aussi, une petite force exercée sur un événement aboutit à de petits résultats, ce que je ne veux certainement pas, même si je me bute parfois à certaines problématiques, et même si parfois je donne l’impression de régresser quelque peu. Mais je ne régresse jamais, et si j’arrête par moments, c’est pour mieux progresser. Prends-en bien note.[code]


Dernière édition par Rayer le Mar 27 Mai - 2:37, édité 2 fois

Rayer

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Message  Rayer Mar 27 Mai - 2:28

Pile ou face : Peut-être me raviserais-je alors sur le costume, j'aime l'idée même si cela ne me semble pas vraiment difficile de vous reconnaître tous et chacun également. Je peux comprendre que le chemin le plus ardu est probablement celui qui te rendra le plus fort, le plus fier... C'est une option comme une autre si tu veux mon avis. La voie la plus facile finira toujours par te remettre à ta place et tu grandiras par un autre moyen.

Rayer : La voie la plus facile est aussi souvent celle qui rabaisse le plus. On n’a qu’à penser à Whitaker qui a pris la voie facile pour entrer dans le combat. Je ne me serais sûrement pas abaissé à une telle inhumanité. Et tout cela pour quoi? Pour un titre, simplement. J’ai, par chance, d’autres visées auxquelles il ne pourra jamais prétendre heureusement, et justice sera bientôt faite, certainement. Cela fait deux fois qu’il m’a, et les deux fois de manière assez incorrecte. Je le ramènerai bientôt à sa place s’il ne se campe pas en des positions plus respectueuses.

Pile ou face : Ça ne risque pas d'arriver, si tu lui dis ça il risque fort probablement de penser que tu parles de camper en plein air et ça lui donnera une raison de plus de montrer sa face à la télévision... Tu me fascines pourtant, je suis d'accord avec la plupart des choses que tu dis et pourtant, je me sens obligé de m'opposer à tes visées si « humaine » soit-elle!


Rayer : Je peux très simplement t’expliquer cette situation – c’est la crainte. Tu sais que tu ne cadres pas dans mes idéaux de manière radicale et que tu ne peux faire partie de l’élite. Pourtant, une petite partie sommeillant en toi te dis que j’ai probablement raison, et que tout ce que je l’ai fait, je l’ai fait pour ton bien, de manière indirecte. C’est une reconnaissance de ce que j’ai pu faire pour toi. J’appellerais aussi ça de la lucidité, puisque tu as sûrement beaucoup vu le monde, un peu comme moi, et que tu as constaté son atrocité, en quelque sorte. Il y a seulement une portion du monde que tu n’as pas vue car elle t’était cachée, et c’est justement celle où tu ne rentreras jamais. Tu ne sauras donc pas pourquoi, de manière appliquée, les damnés Nippons ne sont bons qu’à cuire et faire des pâtés chinois – je peux officiellement le dire, puisque Simmons a d’abord brisé sa partie du contrat, ce qui ne m’oblige plus à le suivre de mon côté, sauf que je n’aurai aucune sanction – mais tu peux savoir qu’ils sont néfastes car tu as vu l’atrocité du monde et que tu peux observer par toi-même une corrélation, ce qui déjà est chose rare.

(Pile ou face s'adosse à une cabine d'essayage, plutôt sur le cadre, la surface constituant la poste n’était qu’une fenêtre. Cette cabine est à l’abris des regards à l’intersection de deux rangées perpendiculaires de vêtements. Il essaie de se mettre à l'aise en écoutant les explications de Rayer. Il lui adresse cependant, d’abord, quelques propos)


Pile ou Face : Ce que tu as fait pour mon bien?! Wow, pousse mais pousse égale! Bien qu'il est vrai que le monde est rempli d'atrocité, je dois te dire que tu fais partie de celui-ci, et par le fait même que tu entres dans mes critères de quelque choses que je pourrais qualifier d'atroce. Détrompe toi le fait d'être atroce ne s'applique que sur quelques plans de ta personnalité. Je pourrai donc dire que j'apprécie ton intelligence... Une faculté qui n'est pas assez développée chez la plupart des lutteurs malheureusement mais que ton entêtement à réduire en moins que rien des gens que tu ne connais même pas et des désirs irréaliste qui vienne de l'être brisé qu'était Hitler. Je ne veux pas entrer dans les détails de son cheminement ni discourir avec toi de toutes ces modalités, je sais bien que tu ne réaliseras jamais le projet d'Hitler mais aurait-il vraiment fait tout ces choses s'il avait eu assez de talent pour être accepter dans l'art?

Rayer (tout sourire) : Est-ce que l’on peut éloigner l’histoire de l’homme? Je ne crois pas. Peut-être a-t-il réellement été éloigné de l’école des arts pour de mauvaises raisons, mais peut-être aussi qu’il avait déjà un certain idéalisme. Et si je réduis les autre, ce n’est ni par entêtement, puisqu’un objectif central justifie tous mes déplacements, bien que tu ne puisses peut-être pas le voir encore. Je ne fais dans ma vie qu’appliquer des principes très simples qui démontrent la supériorité d’une certaine catégorie d’individus dont j’ai la chance de faire partie. Et non, ce n’est pas pour cette raison que je suis cet engagement, puisque je connais des gens qui veulent simplement se tailler une meilleure place dans le monde avec leur handicap et ainsi se soutiennent notre cause. La seule atrocité dans la ligue sont des paroles dans le genre de celles que tu viens de prononcer, et je lutte justement pour ferme le clapet ‘individus de ton genre, pour que les gens ne soient plus floués sans qu’ils en soient conscients. Mon travail est de leur ouvrir les yeux, et ce que tu qualifie d’atrocité, c’est une violence faite à l’individu sans son consentement, mais pour son bien, et en sa connaissance, puisque je ne fais pas de coups fourrés. Je ne fais que les prendre de faces, d’où ma haine pour les bottes d’or. Sur cela, je te remercie de ton compliment et je quitte, au déplaisir de t’avoir rencontré, nous nous reverrons au combat. Je te souhaite une bonne décision dans le choix de ton costume…

Pile ou face: Le fantôme jouera pour ton âme plus que pour la sienne ce soir-là, Rayer...

(Rayer part à grandes enjambées et dépose son vêtement sur le comptoir en indiquant qu’il allait revenir dans les prochains jours afin de faire prendre ses mesures pour un costume plus adapté, mais qu’il conserverait le modèle. Notons qu’il avait, au moment de partir, pris de sa main gauche le costume étiqueté « Candide », et qu’il le traîne avec lui. La seule indication faite à ce sujet, au moment de passer à la caisse, était qu’il allait payer en faisant prendre ses mesures. Probablement un habitué de l’endroit, on n’avait pas posé de question et on l’avait laissé aller. Son visage était de pierre, ses traits sévères et ses yeux bleus particulièrement apparents sous la lumière du jour se faisant par les fenêtres. On entend seulement, alors qu’il quitte, que quelqu’un d’autre aura trouvé son costume pour le combat. Il laisse derrière lui Pile ou face, qui a cessé de le fixer et s’est tourné à nouveau vers les étagères et les rangées de vêtements, avec son élégant chapeau posé sur la tête, donnant un air quelque peu étrange à la scène, un élément à la fois central et inutile, mais tellement beau.)

Rayer

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