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Une éclaircie torride sur fond d'éclairage médiéval (Midnight Voices, PoF, Barnes, Rayer, une petite bitcherie à KK)(partie 1)

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Message  Craig Simmons Ven 13 Juin - 2:12

(Les écrans cathodiques vierges s’éblouissent soudain, emplissant la rétine du spectateur de couleurs, de mouvements, de textures, et emplissant ses oreilles de son proximaux et distants, les livrant à une expérience bi sensuelle, et décalée dans le temps. Les images tournées sont en effet des traces d’un passé récent, comme le prouve la date numériquement ajoutée au bas de l’écran, qui s’est déroulé sur le lieu de l’historique défaite du général Montcalm, et, par conséquent, de la victoire de Wolfe, quoiqu’un des deux n’ait pu goûter les fruits du sang versé. Sur l’herbe qui a poussé par-dessus les boulets tirés, les balles oubliées et les tissus textiles et humains déchirés, une clôture temporaire, mais outrageusement moderne, a été dressée afin d’empêcher des non-payeurs de profiter du spectacle. Des projecteurs allumés dépassent de l’estrade, gigantesques têtes de dinosaures surgissant derrière des montagnes de banc, éclairant la scène qui se déroulait sous eux. Des voix crachant dans le micro, un tablier craquant, grinçant sous le poids des artistes de la kinesthésie se produisant sur leur scène. Les échos distants de la foule nous proviennent de loin, bien que nous soyons à tout le moins à deux centaines de mètres de l’événement. À cette grande distance, six hommes de bonne stature, un peu plus grand et bien plus larges que la moyenne, échangent, conversent, répondant plus par monosyllabes qu’autre chose à un signal cour lancé par un collègue. Tous différents, mais chacun porte un chandail noir avec les inscriptions « LCC-Personnel de soutien » imprimées, l’une sur le coffre, l’autre au niveau des omoplates. Regardant autour, ils semblent plus blasés qu’en état de réelle alerte. Le trafic humain est passé une bonne demi-heure plus tôt, ils attendent patiemment le retour. Cependant, un autre homme s’approche, sa voiture (une vieille Joels 67 noire et blanche) stationnée dans un lieu réservé. De stature plus que supérieure à la moyenne, la masse de muscle se déplace tranquillement, un sac de sport pendu à son épaule engoncée dans un chandail kangourou bleu marine. Nonchalant, Craig Simmons coince sa courte barbe entre son pouce et son index, ses yeux sévères envoyant un bonjour bref et indifférent aux gardes de sécurité, sa tête visiblement occupée par sa préparation psychologique. Cependant, un des gardes de sécurité, un grand bonhomme de plus de six pieds, portant le crâne rasé et un anneau très large à l’oreille droite, s’avance tranquillement vers lui, une main levée devant lui pour le stopper.)



Employé : Désolé, monsieur, mais vous ne pouvez pas passer.



Craig : Je suis pas spectateur, je travaille ici. Allez, dégage, faut que j’aille me changer.



Employé : Je sais que vous travaillez ici, monsieur, mais vous ne pouvez pas passer.



Craig (visiblement perturbé): Comment ça, je peux pas passer ? Enweille, décolle, j’ai un match dans une demi-heure.



Employé : Non, monsieur Simmons. Ce sont les ordres de Brad Barnes, vous ne pouvez pas entrer dans le stade pour cet événement.



Craig : HEILLE ! Tu viendras pas me faire chier que je peux pas venir lutter dans ma ville natale parce que Barnes, qui, soit dit en passant, est le gars qui me paie pour trainer mon cul jusqu’icitte pis lutter, veut pas que je lutte ! C’est quoi cet osti de niaisage là ?!



Employé : Je fais juste appliquer les ordres de Barnes, monsieur Simmons. Pis en plus, je pense que la décision vient pas juste de lui.



Craig : Ouin, mais y a personne à part Barnes qui peut…AH BIN LE P’TIT TABARNAQUE !!! J’VAS LUI ARRACHER LES INTESTINS PIS LE BATTRE AVEC ! TASSE-TOI !



(Craig tente de contourner l’employé, mais les collègues de ce dernier arrivent, chacun bloquant le monstre autant qu’ils le peuvent, et avec succès. Simmons complètement immobilisé, il proteste, et les employés finissent par le relâcher. Se retournant sans même parler, le lutteur ramasse son sac, qui était tombé de ses épaules, et retourne vers sa voiture, maugréant contre Barnes, contre Rayer, contre l’humanité entière. Arrivé à sa voiture, il jette le sac sur le siège passager, place un pied dans la voiture, puis s’arrête. Tournant la tête, il remarque une mercedes grise, d’un modèle assez récent…avec un immatriculation européenne. Calmement, le lutteur s’approche de la voiture, et y donne trois grands coups de pied. Un débosseleur le confirmerait, il avait déjà ses caps d’acier aux pieds. Retournant vers sa voiture, il s’y enferme, et le moteur tourne dans une motion bruyante, les phares s’allumant comme des yeux de dragon promenant leur regard carnassier sur la route, recherchant les enfants qui sont les seuls à déceler leur véritable nature. La voiture quitte le stationnement, la fenêtre du côté conducteur ouverte pour lutter contre la chaleur caniculaire de la capitale en ce début de juin, laissant s’échapper la lumière des contrôles (visiblement par les originaux) et quelques airs d’une chanson très connue de Buckcherry.)

Craig Simmons

Messages : 6
Date d'inscription : 27/05/2008

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Une éclaircie torride sur fond d'éclairage médiéval (Midnight Voices, PoF, Barnes, Rayer, une petite bitcherie à KK)(partie 1) Empty Une éclaircie torride sur fond d'éclairage médiéval (Midnight Voices, PoF, Barnes, Rayer, une petite bitcherie à KK)(partie 2)

Message  Craig Simmons Ven 13 Juin - 2:17



(Une courte coupure de l’image et du son marque la transition entre les époques cousines pour nous projeter dans le temps réel, dans une grande cour arrière. Visiblement, le technicien tourne le dos à la maison, ses pieds reposant sur un patio fait de grosses pierres taillées et reliées par un mortier clair. Bien que nous ne les voyions pas dans leur entièreté, nous devinons la présence d’une table et de six chaises de fer ouvragé, à l’air confortable. Au centre de la table, un grand parasol caramel, en ce moment déplié, pour réserver un petit coin d’ombre. La luminosité vous frappe de plein fouet, la journée s’annonce torride. Seulement, l’expérience cinématographique empêche le spectateur de sentir la moiteur de ce jour de juin, l’odeur et la texture du gazon mouillé et coupé. Il a plu des jours durant, et le soleil présent ne se trouve être qu’une éclaircie. Plus loin dans la cour, tranchant comme la tourbe verte et tondue comme un fil à couper, un chemin fait de dalles de pierre mène à une grande remise de bois, faite à la manière d’un vieux chalet de style typiquement québécois. Une fenêtre perce l’obscurité de la construction, un peu plus haute que ce qu’on retrouve habituellement, sûrement pour permettre à son propriétaire d’y entrer sans se cogner le front et de détruire la remise toute entière dans un brusque accès de colère. Plus loin, le chemin conduit à un petit potager, dont l’aspect propre et rangé contraste avec le jardin qui le suit, plus loin sur le chemin, laissé dans un état de léger abandon, un petit chaos, une légère sauvagerie très relaxante. On y trouve d’ailleurs une table et une chaise, toutes deux artisanales, plantées au sommet d’une petite butte formée naturellement par des pierres, qui ont sûrement vu la demeure s’élever. Sur la table, une bouteille de bière à moitié vide, posée sur un sous-verre, révèle la présence de quelqu’un, sûrement disparu plus loin. À côté, aussi, nous trouvons un torchon et un bidon d’essence. Au loin, nous pouvons aussi voir la frontière du territoire familial, délimité par une clôture partiellement cachée par de petits amélanchiers. L’image défile de manière plus ou moins brusque, une dispute semble avoir lieu, étonnante par le contraste des voix. L’une, ferme, grave, rauque et puissante, facilement reconnaissable, contraste avec l’autre, bien plus ténue, un peu nasillarde, une voix de bouche et non de gorge, aux allures un peu enfantines. C’est d’ailleurs une enfant qui parle. La caméra nous révèle enfin la scène. Un élément jusque là invisible (une grande piscine creusée de forme rectangulaire, dont les ondes de l’eau bleutée sont agrandies par les mouvements des jambes d’un très, très grand homme) autour duquel et dans lequel l’on retrouve Craig Simmons, dont le corps hypertrophié baigne dans l’onde, ses jambes habillées d’un maillot de bain gris et rouge lui descendant jusqu’aux genoux, et une petite fille, dont les cheveux châtains, paraissant plus foncés du fait qu’ils sont mouillés, qui est debout, à côté de la piscine, une serviette enroulée autour de son corps. L’enfant aurait sûrement parue encore plus jolie si elle n’avait eu cet air fâché qu’elle a présentement, criant vers le géant qui, les yeux fermés (ou en tout cas, c’est ce qu’on devine derrière ses lunettes fumées) lui répond d’un ton très calme.)



Petite fille : C’Est pas juste ! Je veux qu’il vienne jouer avec moi, bon !



Craig (calme): J’ai dit non.



Gabrielle : Avant, il pouvait, pis maintenant, il peut plus !



Craig : Non, il peut plus, jusqu’à ce que je dise qu’il peut. Point final.



Gabrielle : T’es pas gentil ! Si il peut pas venir, je vais chez lui, d’abord !



(L’enfant, furieuse et visiblement au bord des larmes, s’enfuit vers la maison, mais fige en présence de la caméra. Un air soucieux donne une touche de sévérité à son joli visage, alors qu’elle s’éloigne lentement vers la maison, ses cheveux mouillés lui dégouttant dans le dos.)



Craig (criant par-dessus son épaule) : Et essuies-toi avant de rentrer en dedans !



(La caméra s’approche du lutteur, qui se retourne, en entendant le rythme de pas inhabituels. Mais il ne se lève pas, confortablement évaché qu’il est à l’intérieur de sa piscine, ne voulant pour rien au monde se séparer de son univers aqueux. Le technicien fait donc patiemment le tour de la piscine, afin de se rendre en face du géant. Pendant quelques secondes, aucun mot n’est échangé. Puis, le géant enlève ses lunettes, avant de jeter son regard sévère à la caméra, un éclat brut d’opale, et de dire ses premiers mots à la caméra, presque les premiers depuis le dévoilement de son identité.)



Craig : Ça fait un boutte, hein ? Je sais, ça fait un bon deux semaines facile que j’ai pas parlé au sein de la ligue. D’ailleurs, Barnes était en tabarnaque. Pas tant parce qu’il trouvait ça plate pour les spectateurs que parce que ça chiait sa promo pour les billets, mais bon. Peu importe. Ils ont fait salle comble, la place était bourrée, malgré ma présence…enfin. Il y a plusieurs petites choses qui se sont dites, lors de mon absence de deux semaines. Premièrement, pour répondre à ceux qui me demandaient pourquoi je n’ai rien fait au courant du dernier demi-mois, bin ma réponse est simple : J’travaille ! J’ai mon bureau de physio à m’occuper, pis on est dans le début des saisons sportives, où des maudits colons qui se sont pas entrainés à l’année longue recommencent d’un coup, avec les mêmes poids qu’avant, se foulent, luxent, fracturent, pètent quelque chose, et ont besoin d’une réadaptation. Par-dessus ça, rajoute un entrainement d’au moins une bonne heure et demie par jour, tu comprendras que j’avais pas le temps. Certains diront que je place mal mes priorités, mais voyons-le autrement. Je suis retourné à la lutte, car j’en ai encore beaucoup à offrir, j’ai une ligue à remettre à l’endroit et un allemand à recrisser sur le plancher, mais je ferai pas de la lutte éternellement. Qui a vraiment le goût de finir sa vie comme une vieille mascotte inutile à la vie de tous, plus capable de penser par soi-même, comme…comme…crisse…



Technicien : Ric Flair ?



Craig : hein ?! Y est pas encore mort ?



Technicien : Bah non. Shane Whitaker, d’abord ?



Craig : Bah, oui, aussi, mais c’est pas celui que je cherchais…



Technicien : Mateo Quera, d’abord ?



Craig : En plein ça ! Donc, faut que je garde ma porte de sortie ouverte, et pour ça, il faut que j’investisse du temps. De toute manière, ce n’est pas comme si ces maudites entrevues là étaient importantes ! Ça donnerait quoi que j’en donne quatre-cinq par jour, sans m’entrainer ? Si Rayer pis les autres veulent le faire, tant mieux pour eux autres, mais moi, je suis pas un petit peu plus un athlète qu’une grande gueule. Qu’ils continuent à brailler sur les ondes, moi, je vais continuer à m’entrainer. À mon prochain match, ils verront la différence. Un gros poing bien entraîné viendra leur fermer la trappe bin comme il faut !



Mais bon ; je peux me permettre de réapparaître, asteure que les difficultés de la boutique sont gérées pis étant donné que j’ai pas d’entrainement supplémentaire en vue d’un match, je peux me permettre de répondre à ceux qui se sont ouverts la trappe, plus ou moins directement à mon sujet. Tout d’abord, les Midnight ! Rien de trop long à dire, juste une phrase que j’ai prise durant mon entraînement et qui m’a coupé le souffle tellement j’ai ri. Comment tu avais dit ça, Alice ? « Nous ne sommes pas les poupées de personne. Nous ne sommes pas des femmes qui veulent tenter de prouver quoi que ce soit. Nous l’avons déjà fait » ? Oh, mets-en que tu l’as fait, ma vieille ! Tu te souviendrais pas d’un certain championnat par équipe, qui avait fini en triple menace ? Tu sais, quand je vous ai allongées toutes les deux sur le ring avant d’aller chercher la ceinture ? Bon, okay, y avait aussi Snap Dragon et Lonely, comme autre équipe, et j’avais Lowman comme équipier. Mais Les deux premiers passaient le gros de leur temps à se taper dessus, pis avoir Lowman comme équipier, c’est pas mal l’équivalent d’être tout seul ! Lonely a été une plus grosse menace que vous autres, et je l’ai battu en combat un contre un pour la ceinture VGI ! Vous deux ensemble, vous avez jamais été à mon niveau pour pouvoir seulement m’affronter une seconde fois ! Alors, vos grands airs, gardez les donc pour vous, pis arrêtez de gaspiller du temps réservé pour un écran noir, de toute manière pas mal plus intéressant que vous autres.



Ensuite, un petit message à Pile ou Face. Rien de bin méchant, mais c’est pour la prochaine fois : La prochaine fois qu’on te dit de te rendre quelque part, à la bibliothèque, par exemple, arrange-toi donc pour être là ! J’ai passé un quart d’heure à poireauter devant une grosse cochonne qui se bourrait la face din Doritos en lisant des romans Arlequin. Je sais que t’as plus ta pièce, mais tu pourrais faire un effort, ouvrir ta boite à gant, pis te servir d’une carte routière, comme tout le monde, non ? Au plus mal, achète un GPS, ou appelle pour dire si ça tiens plus, right ?



(S’éloignant doucement du bord de la piscine, Craig place ses mains sur les pierres derrière lui, se servant de ses bras et épaules puissants afin de se hisser hors de l’onde, avant de se lever, son corps bronzé luisant sous l’eau comme une stature de bronze vierge d’excréments, et de retourner à la chaise artisanale que l’on avait vu plus tôt. Traversant l’herbe, il fait un signe, intimant le technicien à le suivre. Montant la petite colline naturelle, il s’assied dans la chaise, dont le vieux bois sec grince à la réception de son poids. Une gorgée de bière. Il recommence.)



Craig : Enfin, mon gros morceau, l’homme qui a réussi à rendre la langue française aussi emmerdante qu’une étude sur l’histoire de la villégiature à Saint-Augustin ! Tu t’es reconnu là-dedans, Rayer ? Avant de commencer quoique ce soit, je dois apporter ton attention sur un point en particulier : Pile ou Face avait raison. La haine, c’est comme de faire fondre du fudge…bon, maintenant que j’ai accroché Killer Klown, je peux m’expliquer. Le fudge, c’est un truc qui fond lentement, au-dessus de l’eau bouillante. Plus le feu est alimenté, plus on se retrouve avec une grosse bouette épaisse et gluante dans laquelle on se pogne le palais. J’ai besoin d’expliquer davantage ? Chaque fois que tu chiales sur tas maudite supériorité, chaque fois que tu m’insulte, chaque fois que tu parles de pâté chinois, ma haine fond, et après ça, bien malin qui sait ce qui arrivera ! …bon, oui, le fudge refroidit, mais on se comprend. De la marde pour la comparaison. Tu crois vraiment que tes avocats vont venir à bout de cette haine là ? Bin j’ai une surprise pour toi ; écoute ça, mon cher !



(Prenant le morceau de papier qui était coincé sous sa bouteille, que l’on avait pris au-début pour un sous-verre, le déplie et nous en fait la lecture.)



Craig : « Du fait et en conséquence de la perte d’argent encourue en date du 8 juin 2008, à la suite du préjudice subi par la personne de M. Craig Simmons, l’empêchant de se rendre à son milieu de travail dans le but manifeste de lui nuire, nous, firme d’avocats Mayfair & Mayfair, nous engageons à représenter en cour le demandeur, sous les allégations de perte de salaire, d’entrave à l’ordre public, ainsi que de dommages financiers et moraux. » Je te dirai pas le montant total, mon Rayer, mais ça excède de loin ce que tu pourrais me garrocher pour tes petites accusations de bris de contrat. Chuis blindé ! Cherche ailleurs, si tu veux me faire du mal.



J’imagine que ton esprit supérieur peut voir le deal qui se dessine ? (son regard ironique se balance vers la caméra, alors qu’il prend une nouvelle gorgée de bière.) Très simple ; tu laisses tomber ta poursuite, je laisse tomber la mienne, et comme ça, on se fout calmement la paix ! À moins que tu ne veuilles t’engager dans des procédures longues, coûteuses en temps et en argent, et extrêmement inutiles. Je te laisse considérer la question, mon cher !



(Après quelques secondes, Craig fait un signe à la caméra, signifiant la fin de l’entrevue.)



Craig : C’est beau, Marco, tu peux y aller. Merci pour ton temps.



Marc-Olivier : Pas de trouble.



(Se désintéressant de la présence du caméraman, Craig s’empare d’une branche de bois mort, la coinçant entre ses genoux, avant de prendre le chiffon et le bidon d’essence, et d’imbiber le premier du contenu du second.)



Caméraman : Chuis pas certain que je veux le savoir, mais tu fais quoi, là ?



Craig (souriant) : Secret !



À suivre ?


Craig Simmons

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